Juliette est entrée dans le salon avec un thé glacé à la main. Elle a failli le laisser tomber quand elle a vu son mari, Fred, se masturber sur du porno en ligne. Elle savait qu’il le faisait, qu’il le faisait souvent, mais jamais auparavant il ne s’était caressé devant elle. C’était méchant.
“Fred, je sais que tu aimes le porno, mais si tu t’occupais de moi plutôt que de toi seul ?” demande-t-elle.
“Hmmmmm”, grogne Fred, concentré sur l’écran.
“Nous n’avons pas fait l’amour depuis quelques mois maintenant, mais tu te branles tout le temps devant ça. Je peux être raisonnable, je ne crie pas. Regarde, tu es vraiment dur. Tu veux faire l’amour ?”
Fred arrache son regard à l’ordinateur.
“Pas vraiment, mais merci”, dit-il. L’épouse délaissée a failli perdre pied et s’est battue pour contenir ses émotions.
“Eh bien”, riposte Juliette, “j’adorerais n’importe quel type de sexe en ce moment. Et si je te suçais la bite pendant que tu regardes un film porno ?”.
“Eh bien, je suis sur le point de terminer ici dans quelques instants. Si tu veux du sexe, je serai parti dans quelques instants. Utilise l’ordinateur.”
Juliette se dirigea vers la cuisine, bouleversée, confuse et blessée. Elle n’avait jamais dit non à son mari et il s’éloignait continuellement d’elle, aussi bien émotionnellement que physiquement. Ils n’étaient plus en contact. Ils dormaient dans le même lit, mais ne se touchaient jamais et ne se blottissaient jamais l’un contre l’autre. C’était comme s’ils vivaient avec un colocataire, pas avec un conjoint. Elle détestait cela. Elle a entendu Fred crier, en train d’avoir un orgasme. Elle retint sa respiration et se cria silencieusement dessus. La douche s’est mise en route.
Décidée à suivre l’idée de Fred, Juliette se dirigea vers l’ordinateur. Elle voulait blâmer Internet pour tous ses problèmes, mais ce serait autre chose s’ils n’avaient pas le service. Des putes, des librairies pour adultes, peu importe. Au moins, cela empêchait les MST d’entrer dans leur maison. Elle n’avait pas vraiment à s’inquiéter d’attraper une MST de son mari, réalisa-t-elle tristement.
Il a laissé la page web ouverte. Juliette regarde. Une jeune femme était figée dans le temps, en train de sucer la bite d’un vieil homme. Elle devait avoir 20 ans, il en avait 70. Juliette a regardé l’histoire et a trouvé la même chose. Des grands-pères et des filles, des jeunes et des vieux. Est-ce là le problème ? Juliette a maintenant 56 ans. Elle n’était plus ce qu’elle était quand elle était plus jeune, mais elle était encore en bonne forme. Elle s’en sortait bien, une vergeture par-ci, des seins flasques par-là, le temps dur commencé à faire son œuvre. Fred avait l’air plus mal en point, il avait développé un gros ventre et n’était plus en forme depuis que leurs deux fils avaient déménagé. Avant, il était actif. Et maintenant ? La bière, le canapé, le porno et la télé. C’est drôle qu’il ne veuille plus d’elle.
Juliette avait envie de s’asseoir et de pleurer sur sa petite vie de merde. Elle était une gestionnaire de comptes prospère au travail et avait beaucoup d’amis. Elles parlaient toutes de leur mari et de la qualité de leur mariage. Elle ne pouvait pas être celle qui râlait et se lamentait.
La colère. Fred n’était plus un homme bien. Il était égoïste, ne se souciait pas des autres et l’ignorait. Juliette ne s’attendait pas à être dans 100 % de ses pensées et à obtenir 100 % de son attention, mais 10 %, ce serait bien. Il prenait souvent son dîner sur la table et mangeait sur le patio, loin d’elle.
Elle a cliqué sur un lien et a trouvé un site Web qui répertoriait ce qui semblait être une infinité de sujets pornographiques. Des genres ? Elle ne connaissait pas le mot. Il y avait de l’exhibitionnisme, du scat, du porno indien. Des clowns ? Quoi que ce soit, elle n’a pas cliqué. Elle a cependant trouvé quelque chose d’intéressant.
Grand-mère + petit-fils
Elle n’était pas encore grand-mère, mais si Fred voulait des jeunes femmes, elle regarderait des jeunes hommes. La femme mature a rapidement compris sur quels boutons cliquer et comment naviguer sur le site. Un film est apparu. Une femme plus âgée, sûrement pas une mamie, était penchée sur un canapé, suçant la bite d’un très jeune homme athlétique, tandis qu’un autre l’enculait par derrière. Juliette a regardé, aimant chaque seconde. Elle en a regardé encore quelques-unes, puis d’autres. Fred est passé de la douche à la chambre à coucher. Elle savait qu’elle ne lui manquerait pas. Une heure plus tard, elle a fini de regarder. Elle était excitée, grisée. Elle ne se masturbait pas, mais elle était excitée en regardant les vidéos de sexe. Elle est allée se coucher en profitant de l’excitation qu’elle n’avait pas ressentie depuis longtemps.

Samedi . Juliette avait planifié la célébration de sa liberté personnelle ces derniers jours. Elle a décidé d’aller au lac le plus proche de chez elle et de regarder les jeunes gens. Le parc lui-même était une étendue de sable qui faisait le tour de la moitié sud. Il se trouve juste à côté de l’université, une école qui domine les programmes sportifs des petites universités locales. Les équipes masculines étaient particulièrement bonnes. Juliette espérait que les étudiantes afflueraient sur la plage pour que les garçons suivent. Elle voulait regarder les garçons, torse nu, se déshabiller jusqu’au slip de bain, et penser à tous les baiser. Peut-être sous le regard de son mari, gros, chauve, pâle et flasque. Elle sentit un chatouillement entre ses jambes et gara la voiture.
Il y avait pas mal de monde près du parking. La plupart des familles qui ne voulaient pas trimballer leurs affaires plus loin sur le sable s’asseyaient à quelques mètres de la passerelle. Juliette s’est éloignée des familles et a parcouru plus de 100 mètres sur la plage. Ici, la plage est bordée d’arbres et d’un parc très boisé. Il s’agissait d’une réserve naturelle traversée par quelques sentiers sinueux.
Ahah ! Les garçons !
Elle pose sa serviette, enlève son tee-shirt et son short, et s’allonge dans son maillot de bain noir. Le plus près d’elle se trouvait un groupe de quatre garçons, des étudiants de 19 ou 20 ans. Ils étaient bronzés, musclés, riaient et plaisantaient. Ils faisaient du bruit, essayant d’attirer l’attention d’un groupe de jeunettes plus loin. Sur le reste de la plage, il y avait des célibataires et des couples, tous jeunes, probablement de l’école.
Juliette les observait sans retenue. Elle admire leurs abdominaux, leur corps et leur assurance. Elle parie que leurs petites amies se sont fait baiser fort et profondément. Dommage qu’ils soient concentrés sur les jeunes étudiantes.
Juliette n’en finissait plus d’être excitée. Les gars étaient tout près et elle se sentait désespérée. Elle voulait attirer leur attention. Au fond d’elle-même, elle voulait baiser. Elle était déterminée à faire en sorte qu’ils la désirent, qu’ils aient envie d’elle, pas des jeunes filles.
Se croyant à peine, Juliette a retiré les bretelles de son maillot une pièce de ses épaules et les a fait descendre le long de ses bras. Elle avait un corps plus large et savait que les gens regardaient parfois ses seins lorsqu’elle portait des chemises décolletées. Elle a tiré le haut du maillot de bain jusqu’à ses aisselles et s’est allongée à plat ventre. Laissant le soleil chaud l’envahir, Juliette a senti son cœur s’accélérer. Elle ne pouvait pas rivaliser avec les étudiantes en maillot de bain, alors elle allait devoir être plus audacieuse. La femme mature n’avait aucune idée des lois concernant la nudité, mais elle savait qu’il n’y avait pas de plages nudistes dans les environs.
Elle a baissé le haut de son maillot de bain. Sa poitrine s’est écrasée sur la serviette et elle s’est redressée pour la tirer sur ses gros seins. Elle l’a descendu jusqu’à la taille.
“Dieu merci, le maillot n’était pas mouillé”, se dit-elle en essayant d’ignorer le fait qu’elle était seins nus, bien que face contre terre, sur la plage. Ses bras étaient épinglés sur les côtés, couvrant son sideboob.
Cela n’a pas pris longtemps. Après quelques regards en coin et quelques chuchotements, les garçons étaient debout et jouaient à la balle avec un ballon de football. Juliette a apprécié le fait qu’ils lançaient le ballon vers elle et non vers les étudiantes en bikini. Ils ont lentement rapproché le ballon. Juliette aurait ri de leur évidence si elle n’avait pas été aussi excitée par le fait qu’ils étaient tout près, qu’ils transpiraient et qu’ils couraient dans tous les sens.
Le blond, qui semblait être la chef du groupe, a attrapé le ballon en courant à moins de 5 mètres d’elle. Juliette a croisé son regard et lui a souri.
“Belle réception”, dit-elle, “au football, on appelle ça des mains douces, non ?”.
Il lui a rendu son sourire, sûr de lui. “Oui, si tu peux poser un doigt sur le ballon, tu devrais l’attraper à chaque fois”.
Il a jeté la balle au loin et s’est retiré. Quelques lancers plus tard, il était de retour, l’attrapant à nouveau.
“Tu ne laisseras pas ça me frapper, n’est-ce pas ?” demande Juliette, “Tu vas me protéger ?”
“Bien sûr”, dit le gars, “Je suis toujours prêt à aider une demoiselle en détresse”.
“Je ne sais pas si je suis beaucoup une demoiselle”, a-t-elle répliqué.
“Tu te débrouilles bien, ne t’inquiète pas pour ça”, a répondu le gars avec un clin d’œil. Et c’est parti.
Quelques lancers plus tard, la balle est lâchée. Elle a roulé jusqu’à quelques centimètres du bras gauche de Juliette. Elle a levé les yeux pour voir le blond trottiner vers elle.
“Je pensais que tu avais tout attrapé”, dit-elle en la taquinant.
“C’était au-dessus de ma tête, tu n’as pas vu ? Je pensais que tu nous regardais attentivement jouer”, a-t-il répondu, un sourire jouant sur sa bouche. Il s’arrêta à un mètre cinquante d’elle, sans bouger pour récupérer le ballon.
“Oui, mais je ne faisais pas tellement attention au ballon”, dit-elle en se sentant étourdie.
À quand remonte la dernière fois qu’elle a flirté ? Elle n’arrive pas à s’en souvenir. Elle se sentait forcée, mais le garçon jouait le jeu. Et puis il est passé à la vitesse supérieure.
“Alors, euh,” dit-il, “un peu d’aide ?” Il l’a regardée, puis il a regardé la balle.
“Oh, c’est trop dur à obtenir ?” a-t-elle demandé.
“Non, je ne voulais pas envahir ton espace personnel, c’est tout. C’est une question de respect”, a-t-il répondu calmement.
Le cœur de Juliette s’est mis à marteler alors qu’elle envisageait d’attraper le ballon. L’image de Fred quelques jours auparavant est apparue dans son cerveau et elle a pris sa décision.
“C’est gentil de ta part. Laisse-moi t’aider”, dit-elle. Elle roula sur le côté et tendit le bras. La femme mature fut immédiatement consciente de la sensation de la brise et de la lumière du soleil sur ses seins. Elle a senti ses tétons se froncer et durcir à cause de l’exposition. Elle se sentait gênée par le fait que son gros sein pendait et flottait, mais le gars souriait d’une oreille à l’autre quand elle a tendu la main pour lui donner la balle. Il l’a regardée dans les yeux, son regard est descendu sur sa poitrine pendant une milliseconde, puis il a rétabli le contact visuel.
“Wow”, a-t-il dit, “Merci”. Quelques huées et braillements ont retenti de la part des autres gars. Personne d’autre sur la plage n’a semblé le remarquer. Le blond a tenu les yeux de Juliette quelques secondes de plus, puis il a ri.
“Je cherchais juste à ce que tu me dises que c’était bon de venir la chercher”, sourit-il, “mais j’ai apprécié ton effort”.
“Hé, joyeux anniversaire”, dit Juliette calmement. Il a lancé la balle au loin et elle n’en revenait pas d’avoir agi avec autant de nonchalance. Bon sang ! Elle vient de flasher un gars et ses amis ! Elle a adoré ça. Personne ne l’avait regardée comme ça depuis longtemps. La chaleur se répandit dans sa chatte et l’excitation qu’elle ressentait déjà augmenta. Se sentant étourdie, elle a fait descendre son maillot de bain plus bas sur son corps, jusqu’à ce qu’il soit à mi-chemin de ses hanches. Une partie de ses fesses, qu’elle n’a jamais aimées, était exposée et elle a senti du vent sur le haut de sa fente. La femme mariée réfléchit à la possibilité de se baigner et secoue la tête.
Les garçons ont terminé leur partie. Quelques minutes plus tard, elle a vu une boule de pétanque lancée en l’air. En riant et en buvant de la bière en boîte, les garçons ont repris leur partie. Après quelques tours, Juliette s’est rendu compte que la cerise était lancée dans sa direction.
*Pffft*
Elle a atterri 3 mètres plus loin, en contrebas d’elle. Les gars ont pris leur lancer, en riant et en hululant, et se sont dirigés vers elle. Ils sont passés tout près d’elle, lui ont jeté un coup d’œil et lui ont souri. Tous les quatre étaient beaux, en excellente forme, et faisaient attention à son corps. Ils avaient oublié depuis longtemps les filles en bikini.
“Temps mort !”, a appelé l’un des gars, “J’ai mal au bras.”
“C’est parce que tu es une salope, Christophe”, a dit un grand type super bronzé.
“Va te faire foutre !”
“Va te faire foutre. Va te faire foutre, toi et tous ceux qui vivent dans ta MAISON !”, a répliqué le grand type en criant. Tout le monde, y compris Juliette, s’est mis à rire.
Le type asiatique l’a regardée.
“Ça te dérange si on s’assoit une minute ?”
“Bien sûr”, dit-elle en faisant un signe de la main vers le sable. La femme mature réussit encore à tout couvrir, bien que son envie de le faire s’érode lentement.
Ils se sont assis et se sont présentés. Le blond s’appelait Mathieu, le gars asiatique s’appelait Christophe, bien qu’ils l’appelaient “l’Asiatique”, le grand gars était Jérémy, et le quatrième gars était Denis.
“Est-ce que je dois t’appeler l’Asiatique ?” demande Juliette. Ils se sont mis à rire.
“Alors, Juliette,” dit Mathieu, le blond, “tu, euh, as déjà bronzé comme ça avant ?”.
“Non, pas vraiment”, a-t-elle répondu, “c’est une nouvelle expérience”.
“Eh bien, je pense que tu vas brûler si tu ne mets pas de crème solaire. Le soleil est un peu puissant aujourd’hui.”
Elle acquiesça, pensant encore une fois à quel point il était évident. Mais elle était ici, et elle devait faire avec.
“Tu as raison”, dit-elle. Elle a soulevé son corps du sable et a attrapé son sac. Quatre regards se sont immédiatement portés sur sa poitrine. Ses gros seins pendaient bas, ses tétons toujours enfouis dans la serviette. Elle s’est redressée un peu et ses seins se sont libérés. Des sourires éclatèrent et elle sentit une poussée d’adrénaline parcourir son corps. Le vent caressait sa peau et les jeunes gens sexy étaient complètement captivés. La femme mariée s’est penchée en arrière, la crème solaire à la main.
“Denis”, ordonna-t-elle au plus timide, “Prends mon dos et fais du bon travail”.
Denis a versé la crème solaire sur elle et a commencé à la faire pénétrer. Juliette aimait la sensation de mains fortes sur son dos, faisant pénétrer la lotion dans sa peau. Le gars semblait un peu tremblant et peu sûr de lui. Il a rapidement descendu le long de son dos, s’arrêtant à sa taille.
“Euh, Denis, dit Jérémy, le grand, tu n’as pas fini. Tu ne voudrais pas qu’elle brûle, n’est-ce pas ?”
Denis marmonne une réponse. Il s’est mis encore plus de lotion sur les mains. Juliette savait qu’elle avait l’occasion de tout arrêter, mais mari et chatte trempée en tête, elle le laissa faire. Ses mains se sont glissées le long de ses fesses, frottant, glissant le long de sa peau. Ses doigts étaient doux et délicats, ils la caressaient. Il essayait d’être poli et de ne pas la toucher, mais ce contact ultra léger l’excitait encore plus. Lorsqu’il eut terminé, elle était rougie et essoufflée.
“Euh, je vais la remettre dans le sac”, dit-il. Il arborait une érection sous son maillot de bain. Jérémy, le grand, l’a repéré le premier.
“Hah ! Tu bandes ! Pas de maîtrise de soi, petit, PAS de maîtrise de soi !”
Mathieu, le blond, prend la parole : “Je banderais aussi en touchant son cul. Denis a de la chance et je suis jaloux. Bon sang, j’éclate de rire rien qu’en le regardant et en y pensant.”
Christophe, l’Asiatique, acquiesce : ” Ouais, ce que Mathieu a dit. Putain de merde. Juliette, tu as un super cul. Il est vraiment beau.”
Juliette rougit sous l’effet du compliment. “Merci”, dit-elle faiblement.
“Hé, rejoins-nous pour une petite partie de pétanque”, dit Mathieu. Juliette a accepté et s’est efforcée de remettre son haut en place. Elle n’avait pas besoin de se faire arrêter. Les quatre avaient l’air un peu déçus par elle. Deux ont soupiré lourdement, de façon théâtrale. La femme mariée s’est mise à rire.
“Wow, je suppose que je suis si amusante à regarder, hein ?” demanda-t-elle. Des hochements de tête lui ont donné sa réponse. “Eh bien, je ne voudrais pas offenser ceux qui peuvent voir ici. Ce n’est pas très respectueux.”
Mathieu acquiesça, sourit et ramassa la cerise. Il a évalué la distance, et l’a lancée dans les bois, à seulement 20 mètres de la rive.
“Hmmm… il faut jouer dans le dur”, a-t-il dit en souriant. Christophe fronça les sourcils et jura de tuer Mathieu s’ils n’avaient pas un jeu de boules complet à la fin de la journée. Mathieu acquiesce.
Jérémy fit équipe avec Juliette et il eut le premier lancer, il s’écrasa dans le sous-bois. Dough a lancé ensuite, mettant une boule dans les bois. Juliette a lancé la sienne et elle est tombée bien avant la limite des arbres. Les garçons l’ont critiquée avec bonhomie et ont ri. Ils jouèrent la ronde, en prenant quelques lancers de plus pour que Juliette entre dans les arbres.
Ils sont entrés tous les cinq dans la forêt. Sous le soleil brûlant, les bois semblaient mystérieux. Une brise fraîche, l’ombre et le feuillage épais la rendaient presque dangereuse. Préhistorique. Et le fait que Juliette soit avec quatre jeunes gens rendait la chose encore meilleure.
“Mathieu dit : “Moi, je ne peux pas jouer à la pétanque avec une chemise. En fait, la mécanique du lancer se dérègle lorsqu’il y a du matériel sur le haut du corps. Je pratique toutes sortes de sports, alors j’en suis sûr.”
“Alors, commença Juliette lentement, tu es en train de dire que pour que je joue mieux, je devrais être torse nu ou quelque chose comme ça ?” Elle essaie de paraître innocente.
Christophe l’interrompt : “Oui, je veux dire qu’on est tous bons à ce jeu et qu’on est tous torse nu.”
“C’est logique”, dit Juliette. Le cœur dans la gorge, elle a ramené les bretelles sur ses épaules et a de nouveau descendu son maillot de bain jusqu’à la taille. Trois paires d’yeux ont immédiatement regardé ses seins. Denis, timide comme toujours, a tout de même gardé le contact visuel.
“Alors, je, euh, j’ai l’air bien ?” demande-t-elle, incertaine. Ces types baisaient probablement des jeunes étudiantes sexy et ne regardaient jamais des femmes plus âgées, affaissées et rondes.
“Incroyable”, souffle Jérémy. Christophe et Mathieu se sont contentés de la regarder, le sourire aux lèvres. Seul Denis a continué à regarder son visage. Elle a souri.
“C’est bon, bébé”, a-t-elle roucoulé. “Tu peux regarder.” Son regard est tombé et un sourire s’est affiché. Ils se sont regardés pendant une demi-minute. Juliette ne savait pas trop quoi faire ensuite. Son problème était résolu.
“OUCH !” s’est-elle écriée, “Ce putain de moustique m’a piqué le téton !”. La femme mature s’est tapé la poitrine.
“Uh-oh !” Jeremy a dit : “J’ai entendu dire que tu pouvais arrêter le gonflement en aspirant leur petit venin”.
“Non, idiot”, dit Christophe, “ça, c’est les serpents”.
Juliette l’interrompt. “Ça a l’air d’être une bonne idée à essayer quand même. Vite, décidons qui doit le faire. Le gars qui peut lancer sa balle le plus près de cet arbre peut m’aider.” Elle a été choquée par ce qu’elle a dit. Quatre balles ont volé dans les airs.
“Encore ce putain de Denis !” Christophe s’est écrié. Denis s’est approché et a mis son visage à quelques centimètres de ses seins.
“Euh, c’était où ?” a-t-il demandé.
“Je crois que le téton juste là”, a répondu Juliette. Les sourires éclatent à nouveau.
Denis a baissé la tête et a pris son téton dans sa bouche. Il suça doucement la chair durcie, sa langue glissa d’un côté à l’autre dans des mouvements faciles. Personne n’avait touché Juliette depuis longtemps et sa main, d’elle-même, se glissa dans son bas de maillot de bain, frottant sa fente. Elle était trempée et ne s’était jamais sentie aussi excitée de toute sa vie. Denis s’est penché et a sucé plus fort, la mordillant avec ses dents. Sa main libre est venue à l’arrière de sa tête et a poussé son visage dans ses seins. La femme mariée ferma les yeux et laissa la chaleur se répandre sur son corps.
Elle a presque sursauté lorsque d’autres mains se sont jointes à elle. Voici Mathieu, qui pétrit son autre sein et abaisse sa bouche pour couvrir son mamelon. Christophe tirait son maillot de bain le long de ses jambes, jusqu’au sol. Jeremy se tenait derrière elle, son érection dépassant de son maillot de bain et se pressant contre son dos. Ses mains ont glissé vers le bas pour presser ses fesses et frotter son ventre. Elle se serait bien défendue, gênée par sa graisse, mais elle s’est laissée faire. Christophe l’a aidée à sortir des trous pour les jambes et elle s’est retrouvée nue, entourée de quatre hommes.
Juliette a rompu en secouant tout le monde. Tout le monde haletait un peu. Les quatre gars montraient des érections à travers leurs maillots de bain. Juliette se sentait étourdie.
“Tu vas bien ?” demande Mathieu.
“Oui, si on était mal….” commença Christophe.
“Non, dit Juliette, la respiration lourde, non, j’aime ça. Je le veux.” Les gars l’ont laissée respirer, lui ont laissé de l’espace. Elle était incroyablement excitée et voulait repousser les limites. Elle a regardé Jérémy et a dénoué les ficelles de son maillot de bain. D’un geste rapide, elle l’a retiré de son corps. La femme mature s’est retournée vers les trois autres. Les quatre hommes étaient nus, durs et excités. Elle s’est agenouillée face à Mathieu et a pris sa bite dans sa bouche. Ses hanches ont bougé lorsque sa bouche chaude et humide a recouvert sa bite. En descendant de plus en plus bas, elle a fait des gestes pour dire “Viens ici” à Denis et à Jérémy. Ils s’approchèrent tous les deux et elle prit leurs bites dans ses mains et commença à les caresser. Christophe avait déjà l’air dépité et elle l’a regardé, puis le sol à côté de Mathieu. Il s’est mis là où on lui a dit de se mettre. La bite de Mathieu est sortie de sa bouche avec un bruit humide et elle a léché la longueur inférieure de la bite de Christophe.
“Je n’ai jamais eu d’homme asiatique avant”, a dit Juliette, “Tu as bon goût”.
Tout le monde a ri. Juliette est redevenue sérieuse et a commencé à lécher et à sucer la bite de Christophe. Mathieu a caressé sa propre bite, pour rester dur. Des mains sont soudain apparues sur le corps de Juliette, la tripotant et la caressant. Ils ont joué avec ses seins et lui ont touché le côté du visage. Elle a lentement fait le tour du groupe, frottant, caressant, suçant, baisant des bites. Les regards sur leurs visages n’étaient que pur plaisir. Mathieu s’est finalement éloigné.
“Juliette, tiens.”
Il l’a aidée à se relever. Debout sur des genoux tremblants, elle a couiné comme une fille quand Mathieu a frotté son clito. Elle a de nouveau tendu la main vers Denis et Jérémy.
“Non, arrête”, dit Jérémy. Il a écarté Mathieu d’un coup de coude et s’est agenouillé entre les jambes de Juliette. “Écarte un peu les pieds”, dit-il. La femme mariée s’est exécutée. Son souffle chaud a glissé le long de sa fente et sa langue a chatouillé et taquiné son clito. Elle s’est penchée en avant, se forçant à entrer dans sa bouche. Il l’a taquinée, s’est éloigné, avant de plonger, de presser sa langue contre elle et de la lécher pour tout ce qu’elle valait. Il a ajouté des doigts dans sa chatte et l’a frottée. Ses genoux se sont dérobés et elle a senti venir l’orgasme.

“Putain, n’arrête pas !”, a-t-elle crié. L’intensité de Jérémy augmenta et il travailla, concentrant toute son attention entre ses cuisses. C’était le premier orgasme qu’un homme lui donnait depuis un an et elle a crié. Son corps tout entier était en feu, il vibrait et tremblait. Elle est redescendue après ce qui lui a semblé être une éternité et a cherché de l’air. Jeremy a retiré sa bouche d’elle. Puis il y est retourné et a collé ses lèvres aux siennes. Il a léché son clito. Elle a frissonné, n’étant pas trop sensible pour en savoir plus. Mais elle chancelait encore et tombait lentement en arrière.
Christophe et Denis l’ont aidée à s’allonger. Elle s’est allongée sur le dos au milieu du chemin de terre. Christophe s’est installé entre ses jambes, sa bite appuyant sur son ventre. Elle a tendu la main vers le bas et l’a guidé à l’intérieur. Lentement, centimètre par centimètre, il l’a pénétrée, sa bite lubrifiée par son jus. Il a glissé jusqu’au bout, sa bite la remplissant entièrement. Juliette était au nirvana. Le poids du jeune homme la réconfortait et sa bite palpitante était en elle. Ses hanches se sont mises à travailler en rythme avec les siennes et elle s’est battue pour se contrôler. Christophe a tendu la main vers le bas et a pressé son sein, puis il lui a mis le pouce sur le mamelon. Jeremy et Dough se sont agenouillés de chaque côté d’elle. Juliette voulait entourer Christophe de ses bras et le tenir pendant qu’il la chevauchait, mais elle a tendu la main et a joué avec les couilles des autres gars. Ils se sont caressés pendant qu’elle chatouillait et caressait leurs couilles.
Mathieu se tenait au-dessus de sa tête. La femme mature a ouvert la bouche et a léché l’air. Il s’est abaissé, ses genoux se trouvant à côté de ses oreilles. Juliette a relevé le cou, a pris ses couilles dans sa bouche et a commencé à les sucer. Mathieu a déplacé ses hanches et a poussé sa bite vers le bas. Juliette a pris sa tête dans sa bouche et a sucé.
Fred, son mari, semblait à des millions de kilomètres de là. C’était bon d’avoir un homme, n’importe quel homme, un garçon même, pour la baiser. Le souffle de Christophe commença à s’accélérer et il avança plus vite.
“Quand tu jouiras”, halète Juliette, “fais-le dans ma bouche. Je veux que tout le monde ait une chance.”
Mathieu s’est levé pour faire de la place à Christophe. Jeremy et Denis se sont éloignés. Juliette s’est mise à quatre pattes et s’est penchée en avant avec impatience. Elle a sucé la bite de Christophe en goûtant à son jus. Sa main s’est glissée derrière ses couilles et a frotté son trou du cul. Il se pencha en arrière, arquant ses hanches vers son visage.
“NNNNGGHHHHH !!!!”, le grondement profond de sa poitrine a stimulé Juliette. Sa bouche a augmenté le rythme et elle a vu tout son corps se tendre. Il a grogné bruyamment et du sperme chaud a rempli sa bouche. Elle avala goulûment, la semence sucrée-salée remplissant sa bouche. Christophe s’effondra sur le côté, respirant bruyamment. Elle admirait sa poitrine qui se soulevait et retombait et était fière de l’avoir fait jouir avec sa bouche.
Elle a levé les yeux vers les trois autres garçons. Leurs visages brillaient de faim.
“Qui est le suivant ?” demande Juliette en regardant autour d’elle.
Jérémy a sauté derrière elle. Elle rit de ses pitreries. Il s’est agenouillé, a pris ses hanches dans ses mains et a glissé sa bite dans sa chatte dégoulinante. Il l’a poussée lentement, la remplissant. Un soupir s’échappe de ses lèvres. Il a fait des mouvements de va-et-vient, augmentant lentement la vitesse. Juliette a repoussé son corps, obligeant Jérémy à s’asseoir sur ses mollets. Elle s’est assise sur ses genoux et s’est abaissée sur sa bite. Alors qu’elle enfonçait ses hanches dans son corps, elle a attiré Denis devant elle. Elle a senti la main de Jérémy glisser le long de sa hanche et entre ses jambes. Le bout de son doigt a caressé son clito. Elle a tiré la langue, la bouche ouverte, et Denis a mis sa bite dans sa bouche. Il l’a enculé pendant qu’elle chevauchait la bite de Jérémy.
Christophe était allongé dans l’herbe et Mathieu caressait lentement sa bite en l’observant. Juliette voulait le rejoindre rapidement. La femme mature a chevauché Jeremy plus fort, en entendant ses grognements s’intensifier. Elle a retiré les mains de Denis de ses épaules et les a posées à l’arrière de sa tête. Elle a poussé sa tête vers lui et il a compris le message. Juliette a écarté ses dents pendant que Denis travaillait plus fort sur sa bouche. Sa bite entrait et sortait et elle sentait la bave glisser sur son menton. Elle n’a pas bougé, laissant Jérémy et Denis baiser ses trous à satiété.
Dough a poussé un cri et une charge de sperme collant a éclaté dans sa bouche. Il a enfoui sa bite aussi loin que possible et Juliette s’est sentie paniquée à force de ne plus respirer. Quelques secondes plus tard, sa bite glissa hors de sa bouche, de la salive et du sperme recouvrant son menton. La femme mariée l’a essuyé avec le dos de sa main.
Sortie de nulle part, elle a senti un deuxième orgasme monter en elle.
“Oh, mon Dieu, ne t’arrête pas”, dit-elle. Les doigts de Jérémy ont volé sur son clito et elle s’est penchée en avant pour augmenter le rythme. Le plaisir a déchiré son corps et sa chatte a explosé. Elle est tombée en avant, à bout de souffle, l’esprit embrumé par l’extase. Jérémy a glissé sur son corps à plat ventre, continuant à pomper dans et hors de sa chatte.
“Retourne-toi pour moi”, dit-il en se retirant d’elle.
Juliette a roulé son corps face vers le haut.
“Je n’ai jamais joui sur les seins d’une fille”, a expliqué Jeremy. “Ça te dérange si je le fais ?”
Juliette a secoué la tête, riant intérieurement d’être qualifiée de fille. Jérémy s’est accroupi au-dessus d’elle, caressant sa bite luisante d’une main et caressant ses seins de l’autre. Elle a rapproché ses seins pour lui et a attendu qu’il jouisse.
“Viens pour moi, bébé”, dit Juliette, aussi sulfureuse que possible, “je veux que tu te shootes sur mes seins”.
Les yeux de Jérémy étaient rivés sur sa poitrine. Ses hanches se balançaient et une corde épaisse après l’autre de sperme l’éclaboussait. Ses genoux se sont affaissés alors qu’il ralentissait sa caresse, puis s’est arrêté. Haletant, il s’est agenouillé au-dessus d’elle, frottant sa bite dans la bouillie entre ses seins. Il a joué pendant une minute, puis s’est retourné, un sourire se dessinant sur son visage.
Juliette s’est levée et a attrapé la bite dure de Mathieu. Elle l’a conduit par la queue jusqu’à un arbre proche. Elle a posé ses mains sur l’arbre et s’est penchée à la taille.
“Viens en moi”, a-t-elle dit par-dessus son épaule. La taille de Mathieu était parfaite et il a aligné sa bite sur sa chatte. La deuxième bite de la journée s’est introduite en elle. Mathieu lui tenait la taille et pompait.
Juliette avait déjà utilisé des godes, mais rien n’était aussi merveilleux que Mathieu derrière elle. Sa bite s’est enfouie en elle, frottant et glissant dans sa chatte, la remplissant. Il s’est retiré, sa bite la taquinant, lui donnant une sensation de vide avant de s’enfoncer à nouveau. La femme mariée avait un homme vivant, respirant et dur comme de la pierre qui la baisait dans les bois. Elle était couverte de sperme, avait deux bouchées de sperme, et était sur le point de laisser un parfait inconnu, âgé de 20 ans peut-être, tirer sa charge dans sa chatte.
Elle regrettait que Fred ne soit pas là pour la voir. Baise Fred. Eh bien, ne le baise pas. La femme mature a commencé à pousser contre l’arbre, en suivant le rythme de Mathieu. Il a fait preuve d’attention à son égard et elle l’a laissé utiliser sa chatte. Elle était heureuse que n’importe quel homme veuille déverser une charge de sperme en elle. Elle n’en avait plus rien à faire. Elle baiserait ces types aussi souvent qu’ils le pourraient.
Mathieu a grogné derrière elle. Elle s’est repliée davantage. Ses mains ont serré sa taille avec force alors qu’il se mettait à trembler violemment. Elle a senti du sperme dans sa chatte. Mathieu a poussé ses hanches vers l’avant une dernière fois, la remplissant entièrement. Il l’a entourée, a serré un de ses seins éclaboussés de sperme et s’est retiré. Juliette a senti du jus couler à l’intérieur de ses cuisses.
“Désolé que tu n’aies pas eu d’orgasme”, a-t-il dit à voix basse. Juliette a fait un signe de la main, sans s’en préoccuper.
“C’est bien. C’est le meilleur sexe que j’ai jamais eu”, dit-elle.
Tout le monde est resté debout, ne sachant pas trop quoi faire ensuite. Juliette est allée se rhabiller. Les garçons ont enfilé leur maillot de bain.
“Une idée de l’endroit où sont passées les boules de pétanque ?” dit Christophe.
Tout le monde rit. Juliette a enfilé son costume. La femme mariée avait du désordre dans sa chatte, sur ses seins, et des marques de doigts rouges sur sa taille.
“Ummm, je n’ai jamais fait ça avant”, a dit Mathieu, “Que se passe-t-il ensuite ?”.
Juliette a pris le contrôle.
“Eh bien, dit-elle, je serai probablement de nouveau ici le week-end prochain. Peut-être que je vous verrai dans le coin ?”
Les gars ont tous souri et ont promis qu’ils sortiraient tous les jours pour le reste de leur vie.
Juliette est rentrée à la maison cet après-midi-là. Fred était sur le canapé, en train de regarder un match de baseball, une bière à la main. La belle journée brillait à travers la grande baie vitrée. Il a à peine levé les yeux vers elle.
“Tu as l’air rouge. Tu as essayé de faire de l’exercice ?” demande-t-il.
“On peut dire que je me suis dépensée, oui”, a-t-elle répondu.
Il était sur le point de répondre, la confusion se lisant sur son visage, lorsqu’elle l’a dépassé et s’est dirigée vers la douche. L’eau chaude s’est mise à couler et a rincé le sperme de Jérémy sur ses seins. Juliette rayonnait, satisfaite d’elle-même.

Préférence de la coquine : sodomie
Endroit de préférence pour le sexe : jambes écartées sur table
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